Panique au Château et ailleurs
La Loi AVIA : une loi scélérate de plus !
Quand l'Hôpital se fout de la charité !
Méfaits divers et de printemps
QUAND CASTANER FAIT SON
PHILIPPE HENRIOT
"Radio Paris ment! Radio Paris ment!
Radio Paris est la radio des allemands!"
"Un hôpital attaqué par les manifestants"
Cela me rappelle les chroniques quotidiennes anxiogènes du propagandiste du régime de Vichy Philippe Henriot (milicien de surcroît), quand il faisait un rapport radiophonique sur les "exactions barbares" des résistants et autres bombardements des alliés, dont les dommages collatéraux endeuillaient la population (Je n'étais pas encore "là" mais des archives sonores existent que j'ai entendues).
Les techniciens de Radio-Paris diffusaient en direct, depuis les lieux des "ravages", ruines des bombardements ou des attentats, les commentaires vibrant de trémolos sur "ces sauvages" qui s'en prenaient aux paisibles Français innocents.
Gilets jaunes, antisémitisme et censure
L'INTOX INSTITUTIONNALISÉE
PAR UN POUVOIR LOBOTOMISÉ
Les médias à la botte de Hollande puis du macronisme n'ont de cesse de stigmatiser Israël quand la nation juive ("sioniste") agit en LÉGITIME DÉFENSE face à des hordes qui tentent de violer ses frontières pour détruire leur État...
Le pouvoir élyséen n'as de cesse de s'acoquiner avec les princes ou dirigeants arabes pourfendeurs de "Sion", propagateurs émérites de la haine d'Israël et des juifs...
Le 19 février de l'an de grâce 2019, ces mêmes médias ou politiciens veulent censurer la liberté d'expression au motif qu'elle nourrie l'antisémitisme.
En juillet 1942, quand les gardiens de la Paix de la police française raflait les juifs, hommes, femmes, enfants, vieillards, pour les parquer au vel d'hiv' puis à Drancy, Facebook ou Twitter n'existaient pas : la haine (la vraie) n'a pas pour géniteurs les "réseaux sociaux", elle a pour parents (1 et 2) LA PRESSE, avec ses parti-pris, ses mensonges, ses connivences, le POUVOIR gaullien puis socialiste qui a nourri, dans l'Hexagone, le nid de vipères des anti-israélites, anti-chrétiens, anti-musulmans, anti-familles, anti-traditions, anti-cultures, anti-femmes...
Le "net" N'EST NI LA SOURCE NI LA CAUSE des exactions dites racistes ou xénophobes ou homophobes ou sexistes! Le "net" n'en est que le révélateur.
Les FAUTIFS sont entre les lambris dorés des palais de la République - et ce, depuis 1962. Tous ces gens, irresponsables, carriéristes politiques, pratiquants de la langue de bois assassine, abonnés à la duplicité, à l'escroquerie intellectuelle et au crime (au propre comme au figuré), ont détruit la société française, l'ont corrompue par une idéologie psychopathe et par lucre, substituant à une cohabitation paisible (qui se faisait dans le respect de toutes les obédiences religieuses ou philosophiques) les communautarismes assassins et les microcosmes activistes de minorités agissantes agressives.
L'Histoire jugera ces responsables!
© Jonathan Olivier
Photo: du film "La rafle" de Roselyne Bosch (2010)
Paris-Soir: étranges similitudes entre l'état de la France en octobre 1940 et l'état de la France macroniste en février 2019 - on y cause A LA UNE redressement de la France, son rôle dans "l'Europe rénovée de demain" (sic), on y affiche les arrestations politiques à la pelle...
Valence-sur-Rhône transformée en place-forte!
La cité capitale du Valentinois, qui a connu moult inondations par les eaux tumultueuses du "fleuve Roi",
aura son histoire marquée par une marée Jaune!
César Borgia (en valencien et en Catalan, César de Borja), dit « le Valentinois » (Il Valentino) était duc du Valentinois et archevêque de Valence. Il était l'un des fils du sulfureux pape Alexandre VI. Homme violent et sanguinaire, le duc du Valentinois était maître dans l'art de la répression et de la guerre. Je me disais, qu'à la rigueur, pour mater les gueux en rébellion, préfet et maire de Valence-sur-Rhône (le sieur Nicolas de Daragon), auraient pu invoquer le fantôme du duc-archevêque, pour assurer le "maintien de l'ordre" !
Centre-ville inaccessible, enlèvement des véhicules dans de nombreuses rues et avenues de la cité, bouclage des magasins, contrôles d'identité, blocage des péages autoroutiers, venue de "blindés"... Hem ?
"C'est la guerre ? - Non, les Gilets jaunes, Sire !"